Comment oublier son ex....! Rappelez-vous ce que vous ne supportiez pas chez lui : |
La rupture sentimentale n’est pas une maladie, c’est une chose aussi naturelle que de grandir, de perdre ses parents, son travail ! Elle fait, en tout cas, partie des possibilités que l’on doit garder à l’esprit, ce qui laisse une chance de la prévenir. Si l’identité est forte, comme dit plus haut, on n’était pas jusque-là que "le mari de Madame" ou "la femme de Monsieur", mais quelqu’un d’autonome ayant un projet, une philosophie de la vie, des objectifs professionnels, une hygiène de vie faite de loisirs, de sport et un réseau relationnel suffisant. Un échec sentimental est peut-être le signe d’un mauvais équilibre entre toutes ces dimensions ou du surinvestissement de l’une d’elles. On souffre, on rebondit et la relation sentimentale suivante bénéficiera de l’échec précédent. Soit le quotidien était riche et ce qu’il en reste aide à supporter la rupture soit il était pauvre et seule la relation sentimentale permettait de l’endurer. On ne peut donc rien pour lui mais lui peut beaucoup pour vous. La Jalousie dans le couple Vous ne supportez pas qu'on regarde votre conjoint ? Vous surveillez toutes ses sorties ? Pas de doute vous êtes un jaloux ! Si le sentiment de la jalousie n'épargne personne, il peut se transformer en calvaire pour celui qui le vit… et celui qui le subit ! Les spécialistes expliquent souvent ce sentiment par un manque de confiance en soi. Le jaloux doute de son potentiel de séduction. (« je ne suis pas assez bien pour lui/elle », « je ne sais pas ce qu’il (elle) me trouve »…). Lorsque l'on a suffisamment confiance en soi, on projette en général sa confiance sur l'autre. Paradoxalement, de nombreux jaloux, souvent des anxieux qui doutent d'eux même, choisissent une compagne ou un compagnon qui va exacerber ce sentiment. Afin de se rassurer, ils se mettent en couple avec un homme ou une femme attirante, voire parfois séductrice, très sociable et cela va entraîner finalement le sentiment de jalousie ! Il pourrait également s'agir dans certains cas d'une "angoisse de fusion". Le jaloux a peur de perdre son identité dans le couple, et cherche donc une tierce personne pour se rassurer. La jalousie lui permet en quelque sorte de conserver son autonomie, d'exister. Bien sûr, tout cela se joue sur le plan inconscient. La jalousie est avant tout une torture anxieuse liée à l'idée que l'on n'est plus aimé. Elle concerne la place que l'on a pour l'autre. Cette torture s'alimente de toutes sortes de soupçons. Le jaloux est persuadé, qu'un jour ou l'autre, il sera trahi. Il n'a bien sûr aucune certitude mais il a le sentiment que cette chose est inéluctable. Dès la naissance, nous sommes tous confrontés à une même question : "Quelle est ma place pour ceux qui m'aiment ?" C'est tout à fait normal et humain. Ce qui n'est pas normal, c'est quand la jalousie vient en réponse à cette interrogation. Prenons un enfant qui connait de la jalousie à l'égard de sa petite soeur qui vient de naître. Ce dernier est perdu car il ne sait plus ce qu'il doit être dans le désir de sa mère. Et si, par mégarde, ses parents lui envoient des réponses qui maintiennent cette angoisse, le sentiment de jalousie sera alors entretenu. Au fur et à mesure de notre vie, la question de l'amour nous rassure et nous inquiète. Elle nous construit en tant qu'homme et tant que femme. Mais si nous ne parvenons pas à répondre à cette fameuse question, nous ne nous sentons plus vraiment en possession de nos moyens. Résultat : nous avons l'impression que nos rivaux amoureux ont plus d'attributs que nous.
Que l'on pardonne une petite trahison ou un événement traumatisant, les situations ne sont pas comparables et les dégâts non plus. A chacun de déterminer si et quand le pardon doit venir, mais voici ce qu'il peut vous apporter. |
L'Amour véritable Il est très difficile d’aimer véritablement, car l’amour exige, avant tout, l’acceptation inconditionnelle de l’autre. Pour aimer vraiment, il faut accepter l’autre tel qu’il est, avec ses qualités et ses défauts. Si on dit de quelqu’un : « Je l’aime, mais... », on ne l’aime pas ! Le « mais » est de trop ! Il signifie qu’on n’est pas certain de son amour. C’est comme si on disait : « Je l’aimerais, à la condition que... » Dans l’amour véritable, il n’y a pas de poisons, telles la jalousie, la rancœur, la possessivité. L’amour exige le respect total de l’autre ; de la liberté de l’autre. Il ne peut y avoir d’entrave, ni de contrainte. L’amour est une fleur délicate qui ne s’épanouit que dans son individualité. L’amour ne se développe que dans la liberté absolue et non pas à l’intérieur d’une cage. On ne peut aimer et vouloir changer l’autre ou exiger la perfection. En exigeant la perfection, on ne récolte que la tricherie, car personne n’est parfait. L’autre devra tricher et donner une image fausse de lui-même. Dans cette situation, aucun amour n’est possible. Immanquablement, l’autre va revenir à son naturel et il y aura conflit. La personne qui exige la perfection est incapable d’aimer. Si elle se croit parfaite, elle se ment à elle-même. Première condition : ne rien exiger de l’autre. S’il nous aime, il faut s’en réjouir , car l’amour est le plus beau cadeau de la vie. Si on commence à exiger, on ferme la porte à l’amour, car les contraintes et l’amour ne vont pas ensembles. Il faut être reconnaissant et le démontrer, même dans les petites tâches quotidiennes. Il faut savoir dire « merci ». L’amour a une immense soif de reconnaissance. Deuxième condition : pour obtenir l’amour, il faut le donner. C’est en donnant que l’on reçoit. Hélas, les gens se préoccupent davantage de la façon d’obtenir. Quand ils donnent, ils le font souvent à contrecoeur ou en espérant obtenir quelque chose en retour. Ce n’est plus de l’amour, c’est du marchandage. En agissant ainsi, on passe à côté de l’amour. Pensons à toutes les merveilles que la nature nous offre, sans exiger quoi que ce soit en retour. L’amour ne grandit qu’en le donnant sans idée de retour. Troisième condition : pour que l’amour se développe, il faut que l’unité du couple se cimente dans le respect de l’individualité de l’autre. Deux personnes matures qui s’aiment, doivent s’aider mutuellement à devenir aussi libres que possible. Il ne doit y avoir aucun esprit de domination. Comment peut-on aimer une personne et vouloir la dominer en même temps ? Plus la liberté est respectée, plus le couple devient uni. L’amour ne s’épanouit que dans la liberté. En érigeant des barreaux ; en construisant une prison, aussi dorée soit-elle, on tue l’amour. L’amour est comme une fleur et la fleur n’est heureuse que lorsque son parfum est libéré aux quatre vents. On ne peut la faire pousser en tirant sur ses pétales. Elle ne s’épanouit qu’en puisant elle-même dans la terre, la nourriture dont elle a besoin. Ce qui ne l’empêche nullement de se joindre aux autres fleurs pour former un magnifique jardin. |
Les couples qui se ressemblent… Complémentarité ou ressemblance Il est à noter, aussi, comme nos rencontres souvent contredisent nos principes, comme l’inattendu s’immisce et met en faillite nos théories. Nous affirmons que nous ne pourrions aimer quelqu’un qui ne soit pas cultivé, et tombons amoureux d’un homme ou d’une femme sans « bagage » aucun, mais d’une rare générosité. Plus nous rejetons nos références, plus nous nous efforçons de leur échapper, plus nous sommes attirés à notre insu par tout ce qui ne nous ressemble pas. Comme si quelque chose, en nous, s’amusait à mettre en défaut notre volonté. |
Comment avoir du succès auprès des Hommes ? Pourquoi et comment certaines femmes ont du succès auprès des hommes, alors qu'elle ne sont ni plus belles ni plus intelligentes que d'autres et qu'elles ne font aucun effort particulier pour plaire ? La recette est à appliquer tout au long d'une relation amoureuse, si vous voulez qu'elle ait des chances de durer. |
Fille
Rencontrer une fille honnête le matin en sortant de chez soi, annonce une mauvaise journée.
En revanche, croiser une fille de mauvaise vie est un bon signe.
Foudre
Pendant un orage, il ne faut jamais s'abriter sous un arbre.
Porter un vêtement en soie naturelle, éloigne la foudre.
Pour préserver son toit, il suffit d'allumer un cierge de la Chandeleur ou de mettre dans la cheminée trois tisons de la bûche de Noël qu'on a gardé à cette intention.
Fées :
Les Fées serait, les descendantes des Parques latines. L'origine de leur nom vient du fait qu'elles sont les dépositaires de notre destin (fatum).
Selon les régions leurs noms diffèrent.
Ainsi en Provence, on les nomme "fadas", en Gascogne, "fades", et dans le centre de la France "fadettes".
On prétend que celui qui les a rencontrées une fois ne doit sous aucun prétexte chercher à les revoir. Elles en prendraient ombrage.
Fer à cheval :
Le fer à cheval, est un des symboles les plus familiers de la superstition et peu de personnes mettent en doute l'opinion selon laquelle il porte chance.
Trouver un fer à cheval sur une route porte-bonheur, mais votre chance sera encore plus grande si vous le ramenez chez vous pour l'accrocher au-dessus de la porte d'entrée.
Certaines personnes préfèrent, quand elles en trouvent un, cracher dessus et le jeter par-dessus l'épaule gauche en faisant un voeu qui sera exaucé.
Aux États-Unis se développe une coutume autour du fer à cheval.
Lorsqu'une personne se lance dans de nouvelles affaires, ses amis lui font porter des compositions florales en forme de fer à cheval.
Four :
La tradition juive enseigne qu'on ne doit jamais laisser un four vide où l'on pourrait très bien ne rien avoir à y cuisiner pus tard.
Pour éviter de tels désagréments, il suffit d'y laisser en permanence une coupe ou un plat.